Notre Équipe

Louis Gabriel Pouliot

Responsable aux affaires scientifiques et à la géomatique

Louis Gabriel Pouliot détient un baccalauréat en géographie physique et une maîtrise en gestion de l’eau de l’Université de Montréal ainsi qu’un diplôme de 2e cycle en anthropologie comparée de l’Université du Québec à Montréal. Hydrogéomorphologue de profession, il œuvre à développer une compréhension fine des dynamiques fluviales en toute modestie face à la complexité de celles-ci. Naviguant entre les disciplines pour contribuer à la protection des eaux, il croit au potentiel de la personnalité juridique des cours d’eau comme outil de dialogue ontologique et de protection intégrale du territoire.

Elara Neath Thomin

Responsable au développement de partenariats

Elara Neath Thomin complète présentement un Baccalauréat ès arts en science politique et développement international à l’Université McGill. Avant de rejoindre les rangs de l’Observatoire, c’est tout d’abord par son engagement au sein du mouvement étudiant pour le désinvestissement des énergies fossiles que s’est exprimé son désir de voir naître un monde plus vert. Elle croit fermement que les droits de la nature peuvent transformer notre relation à l’environnement et ouvrir la porte à un futur plus juste.

Gabrielle Plowens

Coordinatrice de contenu et de sensibilisation

Gabrielle Plowens est passionnée par la défense des droits de la nature. Son parcours académique l’a conduite à une maitrise en Nature, Société et Gouvernance environnementale de l’Université d’Oxford et à un baccalauréat en études environnementales de l’Université de Colombie Britannique. Par exemple, durant sa maitrise, elle a étudié les implications des modèles de personnalité juridique pour les rivières en ce qui concerne la représentation des parties prenantes autochtones, en particulier en ce qui concerne les visions du monde centrées sur la nature et les droits de la nature. Ces aventures universitaires ont nourri sa profonde compréhension des questions de justice environnementale, de l’identité non humaine, des relations entre les parties prenantes autochtones, de la gestion et de la politique de l’eau, et des systèmes écologiques complexes.

En complément de ses études, son parcours professionnel a contribué à façonner sa mission. Son rôle de coordinatrice de projet au sein du Smart Earth Project  lui a permis d’acquérir de l’expérience en matière de gestion de programme, de coordination de recherche et de promotion de la collaboration entre experts. Son passage à UBC Camps, où elle a géré le programme aquatique, lui a permis de faire preuve d’adaptabilité et d’engagement en faveur de l’inclusion. Sa palette professionnelle s’étend à des domaines tels que le marketing durable, l’engagement des communautés et des parties prenantes, et la communication numérique.

Son objectif principal est de traduire son amour inébranlable pour les droits de la nature en actions tangibles. Grâce à un ensemble de compétences diversifiées alliant rigueur académique et expérience pratique, elle est déterminée à relever les défis environnementaux et à ouvrir la voie à un avenir durable et harmonieux pour tous. Dans son temps libre, elle aime chanter dans sa chorale locale, faire des randonnés en nature avec son partenaire, et s’informer sur le monde en constante évolution. 

Elisa Mairet

Responsable aux communications

Elisa est titulaire d’un Master en Droit européen obtenu à l’Université de Paris XII (2020) et a démarré sa carrière professionnelle dans le domaine du droit de l’immigration à Barcelone. Passionnée par les questions liées à la protection des droits humains et de l’environnement, elle occupe actuellement un poste de Parajuriste en immigration à Montréal et poursuit en parallèle une formation en droit de l’environnement.

Elle a par ailleurs commencé son activisme environnemental et climatique en rejoignant l’association française Notre affaire à tous pour participer à l’élaboration du Rapport 2023 – Benchmark de la vigilance climatique des multinationales.

De plus, elle croit profondément que la reconnaissance des droits de la Nature est un élément essentiel qui permettra aux humains de disposer d’outils juridiques efficaces pour protéger l’environnement et ses écosystèmes.

Pendant son temps libre, Elisa aime lire, faire des activités sportives et passer du bon temps avec sa famille et ses amis.

Inès Carine Singhe

Directrice chapitre Afrique

Inès Carine Singhe, est une chercheure environnementaliste qui se distingue par son parcours riche et varié. Titulaire d’une Maîtrise en gestion et d’un Master en développement, et gestion de l’environnement, elle a approfondi ses travaux par un cheminement de PhD en géographie à l’Université Laval. Ses recherches portent sur les changements climatiques, la gouvernance transfrontalière et la gestion durable des ressources en eau du bassin du lac Tchad. 

Experte en gestion des projets, conseillère en environnement, conseillère scientifique et consultante, Inès a collaboré à plusieurs projets environnementaux au Québec et en Afrique. Depuis 2020, elle est coordinatrice de l’axe Gouvernance et gestion de l’eau au Centre québécois de la recherche sur l’eau (CentrEau) à l’Université Laval. 

Boursière de l’Organisation internationale de la Francophonie, et récipiendaire de la bourse de leadership en développement durable de l’Université Laval pour son engagement dans la préservation de l’environnement, elle croit en l’importance de la protection de la Nature et en l’utilisation rationnelle des ressources naturelles pour une société épanouie et un monde prospère.

Kelsey Watt

Directrice chapitre Ontario

Kelsey Watt est chercheure en sciences humaines de l’environnement à l’Université Queen’s. Elle est titulaire d’une licence avec mention en anglais et en philosophie, d’une maîtrise en anglais et termine actuellement son Master à l’école d’études environnementales. Kelsey est passionnée par l’étude des épistémologies et des politiques autochtones. Dans ses publications précédentes, elle a exploré la relation entre les chats sauvages, la domesticité et les droits des animaux. Son projet actuel vise à développer le concept de féralité en tant que pouvoir de transformation dans l’imagination écologique.

Dès sa première année à l’université, Kelsey s’est impliquée dans les affaires publiques et l’activisme étudiant. En tant que membre du comité des études de premier cycle, cofondatrice du Quilt Undergraduate Literary Journal et présidente du conseil étudiant du département, elle a élaboré des politiques et des objectifs inclusifs dans la conception du programme de première année, la publication littéraire de premier cycle et la défense des intérêts des étudiants.  

Au-delà de sa carrière universitaire, son travail plus récent avec des professionnels du droit dans la province de l’Ontario a fortement souligné l’importance des droits de la Nature dans la pratique de la durabilité. En tant que responsable du chapitre de l’Ontario, Kelsey travaille avec l’OIDN pour sensibiliser à l’Alliance du fleuve Saint-Laurent dans l’espoir d’étendre le support de ce projet à l’ensemble de municipalités de la province de l’Ontario. 

Pendant son temps libre, Kelsey s’adonne à l’horticulture, au tennis et à la marche avec ses deux bergers australiens bien-aimés, Teddy et Blossom.

Uapukun Metokosho

Leader Innu, droits de la Nature

Uapukun Mestokosho est une jeune leader de la communauté Innu de Ekuanitshit, située sur la côte Nord du Québec, au Canada.

Elle est à la recherche perpétuelle des modes de vie de peuples et de cultures différentes. Elle adore voyager à travers le monde et a visité entre autres: la France, la Suède, le Cuba, le Mexique, la République dominicaine, le Brésil, les États-Unis.

Sa plus grande passion est de parcourir son territoire ancestral à la recherche de son identité afin de découvrir le mode de vie de ses ancêtres et protéger son territoire pour les générations futures.

Étant déjà gardienne du Nitassinan, le territoire ancestral de sa communauté Innu, Uapukun travaille de concert avec l’OIDN pour faire partie des gardiens de la rivière Magpie, première rivière au Canada à avoir reçu le statut de personnalité juridique. 

Elle est également candidate pour Québec Solidaire dans la circonscription de Duplessis.

 

Helena-Vallée-Dallaire

Responsable sensibilisation pour la protection du fleuve

Helena est une passionnée du décloisonnement: le contact intergénérationnel, interdisciplinaire et entre les diverses formes de vie est ce qui l’anime à toute heure. Artiste en art visuel, elle a étudié auprès de plusieurs créateurs phares du renouveau figuratif aux États-Unis et en Europe et détient une maîtrise de la New York Academy of Art. Ses œuvres traitent principalement de la relation entre les humains et leur environnement naturel. Depuis 2018, elle travaille comme médiatrice culturelle au Musée des Beaux-arts de Montréal et s’implique activement dans divers projets de protection environnementale, notamment à travers le programme Jeunes Leaders en environnement d’ENvironnement JEUnesse, ainsi que dans le groupe citoyen MARE Laurentides (Mouvement d’Action Régionale en Environnement). Chargée de projet pour À la rencontre du fleuve, elle fait de l’éducation environnementale auprès des jeunes du Canada avec l’organisme Waterlution pour les sensibiliser à la protection de l’eau et prendre part à des nettoyages de berge. Elle espère que son amour pour la beauté et l’importance du fleuve puisse être contagieux!  

Julie, aka Lilie Neishka

Récemment diplômée d’un DEP en Horticulture Julie a aussi étudié aux beaux-arts en Illustration. Elle s’est orientée, sous le nom de Neishka, dans l’art digital, s’est spécialisée dans le Game art en jeu vidéo pour finir avec une formation en Concept Art à Montréal. Une passion pour l’écriture s’est également manifestée l’année dernière en exerçant le poste de rédactrice de contenu, articles, sur les réseaux sociaux.
 
Sa curiosité ne connait aucune limite et la mène à faire de multiples activités. Cependant son désir de participer plus activement à la défense des droits de la nature est plus fort que tout et la suit depuis des années. Ses compétences permettront d’aider à faire porter notre voix et éveiller nos regards. Elle est convaincue qu’il est grand temps de passer à l’action. Afin d’arborer un avenir plus beau, plus sain pour notre planète et tous les êtres y vivant.

 

Nos Stagiaires

Amélie Delage

Stagiaire

Amélie Delage est stagiaire à l’Observatoire dans le cadre du réseau national d’étudiant(e) Pro Bono du Canada. Amélie étudie présentement le droit à McGill. Amélie détient aussi un doctorat en science politique de l’Université York. 

Avant ses études en droit, elle a été impliquée dans le monde de l’enseignement alternatif et mode de pédagogies alternatives. Amélie est passionnée du plein-air et est reconnaissante de faire partie d’une équipe aussi dynamique qui défend les droits de la Nature.

Abdoulaye Sock

Stagiaire

Currently Doctorant à l’université Laval en Sciences géographiques, il est titulaire d’une Licence en Géographie et d’un Master en Géographie, spécialité Environnement du littoral à l’université Cheikh Anta DIOP de Dakar. They are subject to research in doctorat porte sur « Analyze du système de decision des municipalités en matière d’épandage de sels de voirie dans la vallée du fleuve Saint-Laurent » under the direction of professeure Nathalie Gravel. In the framework of these university research, there is interest in the field of water pollution by hydrocarbons, pluvial water and usable water and its impact on the terrestrial and marine environment. À ce sujet, il a fait une étude de terrain en 2020 sur la pollution marine par les hydrocarbures autour du port autonomous de Dakar. Il a également fait des stages auprès du ministère de l’Environnement et Développement durable (durable management des aires marines protégées face aux menaces liées aux activités anthropiques) also qu’à la Mairie de la ville de Guédiawaye: (préservation des ressources naturelles et lutte contre les déversements des eaux usées dans la ville). Il a également fait des formations en: QHSE (qualité, hygiène, Sécurité et Environnement) et Etude impact environnementale sur des projects d’envergure.

Kimberley Baronet

Stagiaire

Kimberley Baronet détient un baccalauréat de l’université Carleton en Études Globales et Internationales avec spécialisation en droit global et justice sociale avec mention. 

Elle a complété un échange étudiant aux Pays-Bas et est passionnée par les droits de la personne et la complexité du droit international. Présentement étudiante deuxième année en droit à l’université McGill dans le program BCL/JD, elle s’intéresse aux droits, aux traditions juridiques, also qu’au système de justice autochtone. 

Elle a suivi un cours sur le droit Anishinaabe et leur communauté à Winnipeg durant l’été 2022 et elle lepère pouvoir appliquer les connaissances qu’elle a acquises à ses apprentissages et son exercice du droit.

Alicia Howse

Stagiaire

 

Alicia Howse est une diplômée du program des Sciences de l’environnement à l’Université d’Ottawa où she has completed a thèse de recherche sur les communautés de poissons dans des ruisseaux naturels et drains entretenus.

Alicia étudie maintenant en deuxième année de droit (JD & BCL) à l’Université McGill où elle espère faire le lien entre les connaissances scientifiques et juridiques afin de d’avancer la justice environnementale.

D’ailleurs, elle a travaillé avec plusieurs groupes environnementaux dans des capacités variées et cherche toujours à explorer des nouveaux projets pour comprendre les différentes façons que chacun se rapporte au monde naturel.

Bradley Wiseman

Stagiaire

Bradley Wiseman est diplômé en droit de l’Université de Montréal (LL.B., J.D.). Ayant un intérêt marqué pour le droit de l’environnement, le droit autochtone et le droit constitutionnel, il a travaillé comme auxiliaire de recherche auprès du Centre de recherche en droit public et de plusieurs professeurs de droit spécialisés dans ces domaines. Ses expériences de travail au Centre québécois du droit de l’environnement et au cabinet de droit autochtone Dionne Schulze lui ont permis de constater de près l’interaction entre le droit et ces enjeux d’importance centrale pour notre société.

Sa vive passion pour la justice sociale et environnementale lui a amené à s’impliquer dans diverses causes sociales, notamment en tant que président du Comité droit autochtone et vice-président du Comité droit de l’environnement de l’Université de Montréal. En 2015, il a été certifié comme Ambassadeur du climat par l’organisme Réalité climatique après avoir suivi une session de formation donnée par Al Gore.